Dans la tasse, un éclat de douceur,
Le chocolat fond, révélant sa splendeur.
Le liquide onctueux coule,
en volutes dorées, en notes sucrées.
Les morceaux croquants, éclats de cacao,
Racontent des histoires des maîtres artisans.
Truffes délicates, ganaches soyeuses,
Chaque bouchée, une aventure précieuse.
Des textures variées, des états raffinés,
Les chocolatiers créent des rêves enchantés.

Sur un fond parchemin, la vigne s’entrelace,
Un verre se remplit, le vin rouge embrasse.
Les raisins mûrs chuchotent, dans une danse délicate,
La nature célèbre, dans chaque goutte écarlate.
Le vin, tel un fleuve, coule avec grâce,
Portant en lui l’histoire, chaque saison qu’il efface.
Dans ce tableau vivant, l’élégance s’enlace,
Et le temps s’arrête, dans ce moment d’extase.
C’est la symphonie des saveurs, un ballet sans fin,
Où chaque verre versé, raconte le destin.

Dans l’atelier du futur, où la lumière danse,
Une ampoule s’éveille, éclat de l’espérance.
Elle brille parmi les codes, langage de silence,
Et les engrenages tournent, en douce cadence.
Les chiffres binaires coulent, telle une rivière verte,
Ils entourent la lumière, dans une étreinte ouverte.
Les rouages de l’histoire, mémoire d’une ère alerte,
Se mêlent aux clés d’une machine, écho d’une découverte.
Le clavier dactylographique, témoin du passé,
Dialogue avec le présent, un futur embrassé.
Dans cette toile de rêves, où tout semble lié,
La technologie et l’art, ensemble, sont alliés.
C’est un monde où l’ancien rencontre le nouveau,
Où chaque invention est un souffle chaud.
Un tableau qui raconte, sans un seul mot,
L’union de l’humain et du techno.

« Infiniment » se déploie,
Dans un ballet de planètes et d’atomes,
Où les étoiles et les cellules s’épousent,
Dans une valse éternelle et intime.
Galaxies en spirale, molécules en écho,
Chaque trait, chaque couleur, un écho de l’autre,
Dans ce tableau, le cosmos et le quantique,
Se miroitent, infinis et magnifiques
Là où le temps et l’espace s’entrelacent,
« Infiniment » nous invite à une étreinte,
Entre le macrocosme et le microcosme,
Un voyage au cœur de l’existence même.

« Dis, combien tu m’aimes ? » demande l’enfant sage,
La mère répond doucement, « Plus que le voyage
De la terre à la lune, mon amour est grand,
Il fait le tour des étoiles, et revient en te cherchant.
Il est comme le vent qui caresse les montagnes,
Comme l’océan qui embrasse les campagnes.
De la terre à la lune, mon cœur bat pour toi,
Et chaque battement te dit combien je crois
En notre lien éternel, fort comme l’univers,
Mon amour pour toi, mon enfant, traverse
Les galaxies lointaines et les cieux infinis,
De la terre à la lune, et retour, pour la vie. »